Destiné aux aventuriers en quête de nouveaux
défis, le Zephyr by PH Sport connaît un engouement loin de se démentir en ayant
séduit de nombreux pilotes lors de son programme d’essais et de développement en
vue du Dakar 2020.
Fruit d’un concept mûri après
le podium de PH Sport au dernier Dakar, le Zephyr a été créé avec un seul
objectif : réutiliser tout le savoir-faire du leader français de la
préparation pour donner vie au SSV T3P le plus abouti jamais proposé.
Forte de ses trente ans d’expérience
au plus haut niveau, la structure de Langres s’est appuyée sur la base du Can-Am
Maverick X3 pour concevoir son nouveau produit. Autour de son châssis
tubulaire accueillant sa mécanique d’origine conforme au règlement FIA, le Zephyr
se pare d’une carrosserie légère en fibre de carbone pour incarner une race
inédite de SSV.
Doté d’un rapport poids/puissance
impressionnant et d’une stabilité repoussant les références de la catégorie, le
Zephyr a vu son processus de mise au point s’accélérer depuis sa présentation mi-juillet.
Plusieurs pilotes issus d’horizons différents, allant de champions du monde
tels Antoine Méo à de parfaits amateurs en quête de nouveaux horizons, se sont
relayés à son volant pour peaufiner les réglages et valider les solutions
retenues par PH Sport.
« Depuis l’officialisation du projet, le Zephyr est entré dans une nouvelle dimension », explique Bernard Piallat, directeur de PH Sport. « Ces dernières semaines, le programme d’essais et de développement s’est déroulé en surpassant tous nos objectifs de performance et de fiabilité. Nous sommes également ravis de l’engouement des pilotes ayant unanimement salué le comportement, la stabilité et le châssis rigide et précis du Zephyr sur toutes les surfaces et dans toutes les conditions. »
« Le fait qu’il soit un véhicule à la fois puissant et léger procure aussi du plaisir à tous ses pilotes sur tous les types de terrains », ajoute-t-il. « Nous allons désormais mettre à profit les prochaines semaines pour peaufiner les derniers détails avant les débuts du Zephyr en compétition. Nous avons hâte de le voir affronter les épreuves les plus emblématiques du monde du rallye-raid, voire de défier les véhicules des catégories et des classes supérieures ! »
Le programme d’essais du Zephyr se poursuivra en France puis à Abu Dhabi avant ses débuts en compétition en Arabie Saoudite à l’occasion du Dakar 2020. Après cette grande première, les Zephyr seront disponibles à la location et à la vente pour être engagés sur toutes les compétitions acceptant les SSV T3P. Fidèle à sa tradition, PH Sport proposera des solutions clés-en-main pour accompagner ses clients dans leurs programmes.
Fiche technique – Zephyr by PH Base : Canam Maverick X3 Châssis : tubulaire homologué FIA T3P Carrosserie : carbone intégral Moteur : CANAM 2020 avec bride FIA de 25 mm Dimensions : 3,55 m x 2,10 m x 1,75 m Amortisseurs : BOS sur-mesure de dernière génération, trois voies avec butée hydraulique de compression et de détente, système CAS et FCS et ressorts ultralégers Freins : AP Racing ventilés, étriers 4 pistons, répartition de freinage incluse Roues : Jantes 14 ou 15’’ (selon réglementation), pneumatiques BF Goodrich Poids : 900 kilogrammes (roue de secours incluse) Électronique : ECU, dashboard 12’’, acquisition de données, limiteur de vitesse et Power Box MoTeC Réservoir : 130 litres avec caisson carbone kevlar Autres : batterie lithium, baquetscarbone personnalisables, caméra de recul, pare-brise amovible…
Présente en rallye-raid depuis 2016, PH Sport approfondit ses liens envers la discipline avec le SSV T3P le plus abouti jamais proposé : le Zephyr. Ce modèle sera disponible à la location et à la vente avec le Dakar 2020 en Arabie Saoudite en ligne de mire.
Leader français de la préparation, de l’exploitation et de la location de voitures de rallye du niveau régional au WRC, PH Sport a effectué ses premiers pas en rallye-raid en louant les anciennes Peugeot officielles dès 2016. L’équipe a alors progressé d’année en année pour mener Khalid Al Qassimi à la sixième place du Dakar 2018, puis Sébastien Loeb au podium lors de la dernière édition.
Cette activité s’apprête désormais à ouvrir un nouveau chapitre avec la construction du Zephyr, un SSV T3P produit par la structure établie à Langres (Haute-Marne).
Basé sur le Can-Am Maverick X3, le Zephyr se distingue des SSV traditionnels grâce à une carrosserie légère en carbone dessinée autour du châssis tubulaire homologué par la FIA pour proposer une alternative crédible, économique et performante aux produits de la catégorie T1.
Si le moteur reste d’origine afin de respecter les règlementations FIA avec sa bride, un travail spécifique a été apporté sur les autres éléments du véhicule. Parmi ceux-ci, on retrouve des amortisseurs BOS de dernière génération à trois voies avec butée hydraulique de compression et de détente, des ressorts ultralégers ainsi qu’un faisceau électrique permettant l’usage d’un ECU de dernière génération, d’un dashboard électronique central ainsi que l’acquisition de données.
Alliées aux sièges carbone, ces modifications contiennent le poids à 900 kilogrammes (avec une roue de secours embarquée). Deux modèles de jantes chaussées de pneumatiques BF Goodrich seront d’ailleurs présentés : 14 et 15’’, selon le règlement dédié à chaque épreuve.
Après un intense programme d’essais en France puis à Abu Dhabi mené avec plusieurs pilotes issus d’horizons différents et représentatifs et des champions du monde dans leurs spécialités respectives, les premiers exemplaires du Zephyr seront disponibles à la vente et à la location pour l’édition 2020 du Dakar. Comme dans l’ensemble de ses activités, PH Sport pourra proposer une prestation clé en main haut de gamme, intégrant tous les aspects techniques, sportifs et logistiques inhérents au rallye-raid.
Acceptés au sein de la catégorie SxS au Dakar depuis 2017, les SSV répondent à un règlement permettant de transformer avec des coûts maîtrisés des véhicules légers pour offrir aux amateurs une plateforme accessible et ludique tout en donnant l’occasion aux constructeurs de repérer les talents de demain.
« Nous sommes très enthousiastes pour ce défi et l’engouement est véritablement au rendez-vous puisqu’une grande majorité des vingt exemplaires de la première série a déjà trouvé preneur tant à la vente qu’à la location. Notre découverte du rallye-raid se poursuit donc à travers de nouvelles aventures et le timing nous semblait parfait pour nous lancer dans la construction du Zephyr, le SSV le plus abouti à ce jour. Nous avons mis tout notre savoir-faire à l’œuvre dans ce produit crédible, économique et performant, qui représentera une superbe alternative au T1. Nous abordons ce nouveau volet de nos activités avec humilité, car nous avons encore beaucoup à apprendre, mais nous remercions les nombreux concurrents ayant déjà choisi de nous rejoindre et de nous faire confiance si tôt dans ce projet. »
Bernard Piallat, directeur de PH Sport
Fiche technique – Zephyrby PH Base : Canam Maverick X3 Châssis : tubulaire homologué FIA Carrosserie : carbone intégral Dimensions : largeur portée à 2,1 mètres Amortisseurs : BOS dernière génération, troisvoies avec butée hydraulique de compression et de détente, système CAS et FCS et ressorts ultra-légers Roues : Jantes 14 ou 15’’ (selon réglementation), pneumatiques BF Goodrich Poids : 900 kilogrammes avec une roue de secours Électronique : ECU, dashboard, acquisition de données et Power Box MoTeC Réservoir : 130 litres avec caisson carbone kevlar Autres : batterie lithium, siègecarbone
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Cinq départs, cinq victoires : voici le bilan du début de saison exceptionnel pour Benoît Vaillant et Antoine Brulé. Après avoir mené la DS 3 R5 au succès, l’équipage PH Sport est monté sur la plus haute marche du podium dès sa première sortie en Citroën C3 R5 au Rallye National du Ternois !
Depuis ses premiers rallyes dès qu’il a eu le permis en poche en 2010, Benoît Vaillant est devenu au fil des années une figure bien connue des différentes coupes de marque.
« Mon père a été copilote puis pilote », se rappelle-t-il. « De mon côté, j’ai vite accroché à cette passion. J’ai donc commencé du côté des spectateurs avant de faire du karting, un peu de circuit, et enfin du rallye avec une Mitsubishi Lancer Evo V dès mes dix-huit ans ! Au départ, j’en savais peu sur les formules de promotion et les préparateurs, mais j’ai découvert la 206. Comme cela se passait plutôt bien, j’ai tenté le pari du Citroën Racing Trophy et c’est au Terre de Langres 2010 que j’ai rencontré PH Sport pour la première fois. J’avais finalement opté pour une C2 R2-MAX située près de chez moi, mais nous nous sommes longtemps côtoyés avant mon départ vers d’autres coupes de marque. »
Deuxième du Citroën Racing Trophy, troisième du Trophée Clio R3 et quatrième de l’Opel Adam Cup, Benoît réalise ensuite une saison en Coupe de France avant de remporter le Clio R3T European Trophy en 2015. S’en suit une campagne 2016 plus discrète, mais il ne tarde pas à retrouver un visage familier…
« L’an dernier, j’avais monté un petit programme en R5 avec Igol, mon partenaire principal », raconte-t-il. « En milieu d’année, j’ai repris contact avec PH Sport pour essayer la DS 3 R5 au Cœur de France. Je connaissais les qualités de la voiture et je savais que je ne serais pas déçu… D’ailleurs, je n’ai plus quitté PH Sport, Bernard et Jérôme depuis ! »
Désormais engagé en Championnat de France de Deuxième Division, Benoît Vaillant a jusqu’ici réalisé un sans-faute et s’est même imposé dès ses débuts au volant de la C3 R5.
« Après m’être rapidement adapté à la DS 3 R5, je voulais monter un programme complet pour 2018 », explique-t-il. « Je savais que j’aurais l’occasion de piloter la Citroën C3 R5. C’était une formidable surprise de l’avoir au Ternois, une épreuve située tout près de mes fidèles partenaires locaux. Très peu de pilotes ont roulé avec, encore moins en course, donc c’était une belle marque de confiance de la part de Bernard et de toute l’équipe. En tant qu’amateur et passionné, je mesure vraiment la chance qui est la mienne de rouler avec une voiture de dernière génération ! »
Une confiance de toute évidence réciproque.
« Comme je ne suis pas un pilote professionnel, je ne suis pas forcément le plus à même de trouver les bons réglages. En revanche, les ingénieurs sont expérimentés, ils nous connaissent et ils savent adapter la voiture à nos besoins. C’est un atout crucial et une vraie valeur ajoutée tant les écarts peuvent rapidement se creuser en R5. Cela explique aussi pourquoi PH Sport est la référence en France en termes de préparation, de conseils et de structure. L’équipe et l’encadrement nous offrent un cadre où l’on se sent bien, soutenu et aidé afin de progresser. »
Fort de son début d’année tonitruant, Benoît Vaillant garde toutefois la tête froide pour les prochaines échéances d’une saison encore longue : « Nous abordons les rallyes les uns après les autres », tempère-t-il. « Le plus important est de prendre des points partout tout en évitant les erreurs. Néanmoins, nous n’allons pas nous priver de jouer la gagne si nous en avons les moyens. Le titre serait d’ailleurs l’idéal pour remercier mes parents, Igol et mes autres partenaires pour tout ce qu’ils m’ont apporté depuis plusieurs années ! »
Photos : Denis L. et Théo V. de SLP – Studio Lecroart Photographie
Victorieux de la première manche du Championnat de France des Rallyes Asphalte avec Stéphane Lefebvre et Gabin Moreau, PH Sport a récidivé sur terre avec le triomphe de la DS 3 WRC de Thibault Durbec et Jacques-Julien Renucci aux Causses. Un succès qui vient récompenser des années de fidélité et de travail commun.
Baignant dans le rallye depuis son enfance, Thibault Durbec a progressivement monté les échelons entre ses débuts en Championnat de France en 2013 et sa première victoire sur la scène nationale.
« J’ai toujours été passionné, mais je voulais une situation professionnelle stable avant de me lancer », confie le Cugeois, âgé de 24 ans lors de son premier départ. « Cela m’a permis de m’entourer et de construire mon programme avec Éric Fabre, présent à mes côtés dès le début. »
Pour ses débuts, le Rallye du Touquet lui réserve un accueil glacial : « La France était touchée par une tempête de neige », se remémore-t-il. « Mon vol a été annulé, donc j’ai traversé le pays pour être accueilli par les congères. Jusqu’ici, je pensais que tous les rallyes ressemblaient à ceux auxquels j’assistais : Antibes, Sainte-Baume, la Durance… C’était donc assez épique de faire la découverte des plaques d’asphalte noir et des carrefours ! »
Après son année d’apprentissage sur asphalte, Thibault Durbec passe sur terre et fait une rencontre décisive : « PH Sport était installé à côté de nous sur un rallye. Éric Fabre avait roulé chez eux et il m’a permis de rencontrer Bernard Piallat en vue du Citroën Racing Trophy. Bernard incarne parfaitement son entreprise. Il nous a indiqué que les places étaient limitées, mais qu’il aimerait bien travailler avec nous. En fin d’année, nous avons récupéré une DS 3 R3 pour le Vaucluse et nous avons gagné en deux roues motrices… Le résultat parfait pour célébrer le début de cette association ! »
En 2018, la collaboration entame sa quatrième campagne et les deux parties sont toujours sur la même longueur d’onde. « Je dirige des concessions automobiles, un milieu professionnel assez carré », explique Thibault Durbec. « J’aime voir de la rigueur et des interlocuteurs qui maîtrisent leur sujet. J’ai retrouvé cette philosophie chez PH Sport. »
« Tout est fait à temps, aucun détail n’est laissé de côté et le personnel est ultra-compétent. Il y a Bernard en tête de proue, mais tout le monde compte : Kévin, Corentin, et tant d’autres ! Sur tous les plans, c’est ce qu’il se fait de mieux. En me stabilisant avec Jacques-Julien dans le baquet de droite, j’ai bénéficié d’un bon environnement pour progresser, devenir plus régulier, faire moins d’erreurs. Même si je ne suis pas le pilote le plus talentueux, j’ai franchi les caps petit à petit jusqu’à cette victoire pour mon troisième Terre de Causses. »
« Nous étions très bien préparés avec un rallye d’entraînement et une bonne séance d’essais avec Christophe, notre ingénieur », souligne-t-il. « Je me sentais bien au volant, je n’avais qu’à m’appliquer. Nous avons ouvert la route du début à la fin face à des concurrents sérieux qui attaquaient fort. Jusqu’à la dernière spéciale, nous n’avions pas la prétention de gagner, mais cette victoire ne doit rien au hasard. Elle a été intégralement construite entre PH Sport, Jacques-Julien, Éric et moi. C’était aussi l’occasion parfaite pour rejoindre la liste des pilotes ayant mené Yacco – mon partenaire principal – à la victoire, et une belle exposition pour ma nouvelle livrée Roure Compétition, le magasin de vente de pièces de compétition que j’ouvre en septembre ! »
Désormais vainqueur en Championnat de France des Rallyes Terre, Thibault Durbec en a-t-il profité pour revoir ses objectifs à la hausse ? « La saison est très longue », temporise-t-il. « Cette victoire est gratifiante pour tout le travail déjà accompli, mais c’est toujours plus dur de confirmer. Nous allons continuer de travailler pour que nos futurs succès soient encore plus beaux… S’il y en a d’autres, car rien n’est jamais acquis dans ce sport ! »
Avec Khalid Al-Qassimi (3008 DKR) et Harry Hunt (2008 DKR), PH Sport a déjà participé à trois épreuves de rallye-raid en 2018 : le Dakar, la Dubai Baja et l’Abu Dhabi Desert Challenge. Retour sur l’adaptation de l’équipe à cette discipline…
Depuis son arrivée dans la discipline en 2016, PH Sport s’est déjà fait une place au cœur des bivouacs. En début d’année, la seconde participation de l’équipe au Dakar s’est soldée par la sixième place de Khalid Al-Qassimi et Xavier Panseri. À bord de la Peugeot 3008 DKR MAXI d’Abu Dhabi Racing, l’équipage a effectué une des courses les plus remarquées.
« Nous avons eu d’ailleurs de nombreux messages de félicitations après l’arrivée », se réjouit Bernard Piallat, Directeur de PH Sport. « Le bilan de ces deux semaines est très positif. Comme tous les concurrents, nous avons rencontré quelques soucis, mais ils n’étaient pas imputables à la qualité de notre travail. Ma satisfaction vient aussi de l’ambiance qui a régné au sein de l’équipe. Nous avons constitué un petit groupe d’ingénieurs et de techniciens suffisamment solidaire pour enchaîner les étapes dans le calme et la sérénité. Même les moments de stress ont fini par être de bons souvenirs, car nous sommes fiers de ce que nous avons réalisé pour surmonter les défis qui se présentaient à nous. »
Équipe spécialiste du rallye, PH Sport a donc acquis de nouveaux savoir-faire spécifiques à la discipline. « Certains aspects sont plus faciles qu’en WRC. Par exemple, nous avons beaucoup de temps pour travailler », poursuit Bernard Piallat. « En revanche, il faut être encore plus vigilant qu’en rallye ‘traditionnel’, car la moindre faille peut avoir des conséquences désastreuses sur une étape de 1000 km. Et puis nous évoluons le plus souvent dans des contrées ‘hostiles’. Il faut donc tout prévoir en amont. Véritablement, le travail de préparation est la clé de la réussite en rallye-raid. »
DES VOLANTS ENCORE DISPONIBLES
Pour l’heure, la suite du programme de PH Sport passera par le Rally Kazakhstan (27 mai – 2 juin), où Harry Hunt disposera d’un Peugeot 3008 DKR. Le Britannique disputera également le Silk Way (15-29 juillet) puis le Dakar 2019 en 3008 DKR MAXI.
PH Sport propose évidemment d’autres volants, pour une ou plusieurs courses : « Depuis deux ans, nous avons investi beaucoup de temps et d’énergie pour développer notre savoir-faire en rallye-raid. Les 2008 et 3008 DKR sont des voitures hors-normes et nous disposons de l’expérience nécessaire pour les exploiter à leur plein potentiel. En essais ou en course, nous avons fait rouler de nombreux pilotes aux profils variés et nous avons effectué un gros travail pour rendre les voitures polyvalentes et aisées à prendre en main. Dans le même temps, nous cherchons à conserver des prestations de grande qualité. Ainsi, nous n’engagerons pas plus de trois voitures au Dakar 2019. »